Un angle de la propriété touche aux lacs de l’Essonne, entrevus tout à l’heure. En fait de lacs, ce sont des étangs connectés entre eux par des bras d’eau et qui portent, comme souvent, des noms énigmatiques : l’étang de la Place Verte, l’étang de la Justice, le lac de l’Arbalète… Le temps me manque d’explorer les archives pour en connaître l’origine, mais j’ai bien une ou deux heures pour en boucler le tour à pied.
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Pour relier ce chapelet d’étangs au lac des docks, repéré plus au sud, il n’est guère d’autre chemin que la Nationale 7, une quatre-voies peu amène qui traverse la ville avec la délicatesse d’un marteau-pilon. Je m’y suis préparé, comme un nageur s’entraîne pour une séance d’apnée.
